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Chassan

 

Christian

Voyages

Bonne rigolade :

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Atterrissage avorté

Dans un train régional, un contrôleur aborde un voyageur pour lui demander son titre de transport. Le contrôleur lui dit en voyant son billet :
  « Vous descendez à Dijon ? Vous vous êtes trompés de train ! Depuis le mois dernier, ce train ne s’arrête plus à Dijon. »
  « C’est pas possible ! Je DOIS descendre à Dijon sinon je ne pourrai pas retrouver la femme que j’aime. Si je ne descends pas, elle croira que je ne l’aime pas et c’en sera fini de notre amour. Jamais plus je n’aurai l’occasion de la revoir. »
Le gars insiste tellement que le contrôleur, un sentimental, s’attendrit et finit par dire :
  « Bon d’accord. Je vais en parler au conducteur du train. Il ralentira suffisamment en arrivant dans la gare de Dijon pour que vous puissiez descendre en courant. Mais il faudra que vous couriez très vite dès que vous quitterez le marchepied du train car le train n’ira jamais moins vite que 30 km/h. »
Alors, lorsque le train arrive en vue de la gare de Dijon, le contrôleur ouvre la porte, et le voyageur saute du train, et cours comme un fou pour ne pas se casser la gueule, Jusqu’à ce qu’un passager du train, debout à la porte du wagon suivant n’aperçoive cet homme en train de courir et l’attrape par le col de sa veste pour le hisser dans le train en lui disant :
  « Vous avez du bol que j’aie été là, mais la prochaine fois, vous devez savoir que ce train ne s’arrête plus à Dijon. »

 

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Encore !

Un gars passe une semaine de vacances dans un hôtel au bord de la mer. Lorsqu’il descend prendre son petit-déjeuner le matin de la deuxième nuit, la gérante de la maison demande :
  « Bonjour Monsieur. Que puis-je vous servir ? »
  « Je voudrais deux œufs sur le plat. Un des deux sera carrément dur. Quant à l’autre (dont le jaune sera cassé), vous le placerez sur un toast qui sera complètement brûlé. Vous passerez le tout dans le micro-onde, de telle manière que le tout soit bouillant à l’extérieur mais complètement froid à l’intérieur. »
  « J’ai bien peur que cela ne soit pas possible Monsieur. »
  « Ah bon ? C’est pourtant ce que vous m’avez servi hier matin ! »

 

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