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Chassan

 

Christian

Justice

Avocats, arnaques, jugements, etc.

Amusez-vous bien :

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Arnaques

Inattaquable

La justice australienne n’a pas pu condamner une arnaque qui a fait la fortune des personnes qui en ont eu l’idée.
Une société avait publié des publicités dans plusieurs journaux australiens indiquant qu’elle était spécialisée dans l’importation de films pornos, et qu’elle garantissait de pouvoir fournir n’importe quelle cassette, CD ou DVD X. Les prix annoncés étaient très raisonnables et des milliers de clients ont passé commande sans oublier de joindre un chèque.
Plusieurs semaines après que leur chèque fut débité, les clients ont reçu une lettre de cette société leur expliquant que la loi australienne ne permet pas l’importation de vidéo X et que la commande ne pourra pas être honorée. la lettre était accompagnée d’un chèque de remboursement avec le montant exact de la somme qu’ils avaient payée.

Où est l’arnaque alors ?

En fait moins de 10% des clients de cette société ont osé aller encaisser leur chèque car le nom de la société émettrice était : "Sodomy, Fetichism & Perversion Corp.". Et voilà comment une bande de rigolos s’est retrouvée avec un compte en banque grassouillet sans que la justice ne puisse les condamner pour escroquerie !

Livraison posthume

Un petit malin surveillait la rubrique nécrologique du journal local et notait les dates des enterrements et les adresses. Avant le départ du corbillard avec les parents et amis, un type se présentait avec un colis qu’il venait livrer au défunt, annonçant qu’il s’agissait d’une commande récente de livres “licencieux” qu’il devait remettre en mains propres. Un membre de la famille payait la facture sans rien dire pour éviter toute publicité un tel jour...
Et puis, un jour, un parent présent à d’autres funérailles a reconnu le type entrevu quelques jours plus tôt à l’enterrement précédent et a prévenu la police...

Limace opportune

Et il y a eu aussi l’arnaque du gars qui bouffait tous les jours dans des restaurants différents sans payer : il commandait un bon menu, finissait par une salade verte et faisait un scandale prétextant qu’il avait trouvé une limace (apportée par lui même). Les serveurs et le patron s’empressaient pour s’excuser et le calmer, et le gars repartait très digne, jurant qu’il ne remettrait plus les pieds dans ce restaurant, et sans payer quoi que ce soit !
Cette technique a fonctionné jusqu’au jour où un client ayant assisté à la même scène quelques jours avant dans un autre restaurant a prévenu le patron qui a appelé la police...

 

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Cigares consumés

C’est la meilleure histoire d’avocat de l’année 2007 et il sera difficile de faire mieux dans le siècle en cours !
Voici les faits.
Un avocat de la ville de Charlotte (Caroline du Nord) avait acheté une boîte de 24 cigares très rares donc très chers, et les avait assurés, entre autres contre l’incendie.
Dans le mois qui suivit, ayant entièrement consommé sa réserve de cigares, l’avocat envoya une réclamation à sa compagnie d’assurance !
Dans sa réclamation, il indiquait que les cigares avaient été perdus “dans une série de petits incendies”.
La compagnie d’assurance refusa de payer en citant la raison évidente que l’homme avait consommé les cigares de façon normale en les fumant.
L’avocat intenta une poursuite. ET IL LA GAGNA !
En délivrant son verdict, le juge fut d’accord avec la compagnie d’assurance pour admettre que la réclamation était de nature tout à fait frivole. Cependant, le juge indiqua que l’avocat détenait une police de la compagnie qui stipulait que les cigares étaient protégés et que ces derniers étaient absolument garantis contre l’incendie, sans toutefois préciser ce qui constituait un incendie “acceptable”. Le juge déclara donc la compagnie dans l’obligation de rembourser l’avocat.
Plutôt que d’engager des procédures d’appel longues et coûteuses, la compagnie d’assurance accepta le jugement, et paya donc à l’avocat la somme de 15,000.00 $ pour la perte de ses précieux cigares lors de regrettables “incendies”.
ATTENDEZ C’EST PAS FINI !
Une fois que l’avocat eut encaissé le chèque, la compagnie le fit arrêter pour 24 chefs d’accusation d’INCENDIES CRIMINELS !
En effet, la compagnie utilisa contre lui sa propre réclamation ainsi que son témoignage lors du procès. L’avocat fut accusé d’avoir volontairement incendié une propriété assurée afin de toucher le montant de l’indemnisation. Il fut condamné à 24 mois de prison ainsi qu’une amende de 24,000.00 $.

Ceci est une histoire vraie qui obtint la première place au dernier Criminal Lawyers Award Contest.

 

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Désordre dans les Cours d’Amérique

Ce qui suit provient d’un livre éponyme : dialogues retransmis mot pour mot

Perdu !

AVOCAT : « Quelle est la première chose que votre mari vous a dite ce matin-là ? »
TÉMOIN : « Il a dit “Où est-ce que je suis, Cathy ?” »
AVOCAT : « Et pourquoi est-ce que ça vous a déplu ? »
TÉMOIN : « Je m’appelle Susan ! »

Objet

AVOCAT : « Êtes-vous active sexuellement ? »
TÉMOIN : « Non, je me laisse faire. »

Paradoxe

AVOCAT : « Cette myasthénie gravis, affecte-t-elle votre mémoire d’aucune façon ? »
TÉMOIN : « Oui. »
AVOCAT : « Et de quelle façon affecte-t-elle votre mémoire ? »
TÉMOIN : « J’oublie. »
AVOCAT : « Vous oubliez ? Pouvez-vous nous donner un exemple de ce que vous avez oublié ? »

Expertise

AVOCAT : « Docteur, n’est-il pas vrai que lorsqu’une personne décède en dormant, elle ne le sait pas avant le lendemain matin ? »
TÉMOIN : « Avez-vous vraiment passé vos examens du Barreau ? »

Vain !

AVOCAT : « Le plus jeune garçon, celui de 20 ans, quel âge a-t-il ? »
TÉMOIN : « Vingt, comme votre quotient intellectuel. »

Incrédule

AVOCAT : « Étiez-vous présent lorsque votre photo a été prise ? »
TÉMOIN : « Vous vous moquez de moi ? »

Ça se tient !

AVOCAT : « Donc, la date de conception (du bébé) est le 8 août ? »
TÉMOIN : « Oui. »
AVOCAT : « Et que faisiez-vous à ce moment-là ? »
TÉMOIN : « Je baisais. »

Besoin urgent

AVOCAT : « Elle avait trois enfants, c’est exact ? »
TÉMOIN : « Oui. »
AVOCAT : « Combien étaient des garçons ? »
TÉMOIN : « Aucun. »
AVOCAT : « Y avait-il des filles ? »
TÉMOIN : « Monsieur le Juge, je pense que j’ai besoin d’un autre avocat. Est-ce que je peux avoir un autre avocat ? »

Devinette

AVOCAT : « Comment votre premier mariage s’est-il terminé ? »
TÉMOIN : « Par un décès. »
AVOCAT : « Et par le décès de qui s’est-il terminé ? »
TÉMOIN : « Devinez. »

À moins que...

AVOCAT : « Pouvez-vous décrire l’individu ? »
TÉMOIN : « De grandeur moyenne, avec une barbe. »
AVOCAT : « Était-ce un homme ou une femme ? »
TÉMOIN : « À moins que le cirque soit en ville, je vais dire un homme. »

Difficulté technique

AVOCAT : « Docteur, combien de vos autopsies avez-vous faites sur des personnes mortes ? »
TÉMOIN : « Toutes. Les vivants se débattent trop. »

Par la bouche...

AVOCAT : « TOUTES vos réponses DOIVENT être orales, OK ? À quelle école êtes-vous allé ? »
TÉMOIN : « Oral. »

Meurtre

AVOCAT : « Vous souvenez-vous de l’heure où vous avez examiné le corps ? »
TÉMOIN : « L’autopsie a débuté vers 20h30. »
AVOCAT : « Et M. Denton était-il mort à cette heure ? »
TÉMOIN : « En tout cas, il l’était quand j’ai fini. »

Compétences

AVOCAT : « Êtes-vous qualifié pour un prélèvement d’urine ? »
TÉMOIN : « Êtes-vous qualifié pour poser cette question ? »

Perdu !

AVOCAT : « Docteur, avant de procéder à l’autopsie, avez-vous vérifié le pouls ? »
TÉMOIN : « Non. »
AVOCAT : « Avez-vous vérifié la pression sanguine ? »
TÉMOIN : « Non. »
AVOCAT : « Avez-vous vérifié la respiration ? »
TÉMOIN : « Non. »
AVOCAT : « Alors, est-il possible que le patient ait été vivant lorsque vous avez commencé l’autopsie ? »
TÉMOIN : « Non. »
AVOCAT :« Comment pouvez-vous en être si sûr, Docteur ? »
TÉMOIN : « Parce que son cerveau était dans un bocal sur mon bureau. »
AVOCAT : « Je vois. Mais, est-ce que le patient ne pouvait pas être quand même encore en vie ? »
TÉMOIN : « Oui, c’est possible qu’il soit en vie et fasse le métier d’avocat. »

 

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Très fort !

C’est un jeune avocat qui se lance en créant son propre cabinet. Il a hâte de recevoir son premier client, et il a très envie de faire forte impression dès le départ. Si bien que lorsqu’il entend frapper à sa porte, il dit « Entrez ! » et tout de suite, il décroche son téléphone pour simuler une conversation animée :
  « Oh je suis désolé Monsieur, mais mon emploi du temps est tellement chargé que je ne pourrai pas m’occuper de votre problème avant un mois. Je vous rappellerai à ce moment là. Au revoir ! »
Puis le jeune avocat se tourne vers le visiteur et lui demande :
  « Bonjour. Que puis-je faire pour vous ? »
Et le gars répond :
  « Je suis technicien télécoms et je suis venu pour vous brancher votre téléphone. »

 

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